les porteurs du timbre
Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, À la croisée des règles byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans société accueillait des invités fabriqués. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de cire chaude, abritait les outils d’un art familial, dissimulé sous l’apparence